Les faits avant le récit.
La gouvernance se juge sur ce qu’elle produit réellement, non sur ce qu’elle raconte.
Victor Martel est analyste des politiques publiques et des pratiques de gouvernance. Son travail part des documents officiels, des rapports administratifs et des débats parlementaires, pour interroger les récits produits par le pouvoir.
Son premier essai, « Diversion, De l’École Bedford à la loi 94, La fabrique d’un ennemi pour se maintenir au pouvoir », propose une enquête critique sur la manière dont un cas local a été transformé en levier politique, au détriment de la vérité et de la confiance démocratique.
Diversion, De l’École Bedford à la loi 94
En confrontant le discours alarmiste de plusieurs responsables politiques aux documents officiels, aux rapports d’enquête et aux débats parlementaires, cet essai met en évidence un mécanisme de pouvoir qui repose moins sur la recherche de la vérité que sur la fabrication d’un récit utile.
Le livre suit pas à pas la trajectoire du cas Bedford, la manière dont il est raconté, instrumentalisé puis intégré dans un projet de loi à portée générale, malgré l’absence de fondement probatoire solide.
L’objectif est de rendre visibles les décalages entre ce qui est dit et ce qui est démontré, et d’outiller toute personne qui souhaite juger à partir de faits plutôt que de perceptions.
« Diversion »
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